Nous allons maintenant de proposer des situations qui permettront au débutant d’identifier, de produire et de ressentir les comportements les mieux adaptés à la logique de chacune des phases du saut, ainsi qu’à leur enchaînement. Ces situations pourront le plus souvent être présentées sous forme de jeux, solution s’il en est pour concilier un apprentissage à la fois technique et ludique. Et tout d’abord, comme il est coutume de le faire pour les autres disciplines de saut en athlétisme, on commence par « apprivoiser » en premier lieu la fin du saut. Dans le cas du saut en longueur il s’agit de l’atterrissage : apprendre d’abord à atterrir, puis à s’équilibrer pour oser ensuite mieux se « lâcher » au décollage.
La longueur, un apprentissage fonctionnel
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Suite de l’étude sur 4 numéros du saut en longueur
AEFA N° 181 – Mars 2006
Auteurs : Alain TRONQUAL
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